PAGE Revue de presse (association deuil perinatal, mort-deces enfant autour de la naissance, IMG-ITG, fausse-couches)

Magazine Libération - 30 mai 2005 (Un lieu de recueillement pour les familles d'enfants morts-nés a été inauguré le 30 avril dans le cimetière d'Eloie, près de Belfort.

Seuls deux autres lieux de ce type existent aujourd'hui en France : à Lille et à Schiltigheim)

Selection - mars 2007 (Souffle de vie - La survie d'Adriana dépendait de l'efficacité d'une thérapie expérimentale)

(Cet emprunt n’est possible que par les membres cotisants de l’association L’enfant sans nom – Parents endeuillés, à jour de leur cotisation.

Ces cassettes vous seront prêtées, seuls les frais de port seront à votre charge.)

SUPPORT*

TYPE

TV-RADIO

SUJET - RESUME

DUREE APPROXIMATIVE

DATE

VIDEO 1

VHS ou DVD

ARTE

1. ZONE INTERDITE « Bébé, je t’aimerai toujours » Ce reportage aborde le sujet de l’interruption médicale de grossesse (IMG) qui, à la différence de l’interruption volontaire de grossesse (IVG), n’est pas limitée dans le temps. En France, moins de 2% des grossesses posent de graves problèmes. Il n’existe pas de nomenclature des maladies « avortables ». Pour qu’une IMG puisse être pratiquée, il faut que la maladie détectée soit « suffisamment grave et incurable » et que 2 médecins au moins soient d’accord sur ce point.

2. «L’ADIEU AUX ANGES »

L’Hôpital Jeanne de Flandres à LILLE est l’une des plus grandes maternités d’Europe : 4500 bébés y naissent chaque année et 200 bébés y meurent. Dans cet hôpital, on reconnaît et accompagne la souffrance des couples endeuillés. La prise en charge de la douleur psychique des parents de bébés morts in-utero, à la naissance ou suite à une IMG a été initiée notamment par le Docteur Maryse DUMOULIN. Des pratiques ont été mises en place pour aider les parents (qui le souhaitent) à faire le deuil de leur enfant :

- voir leur enfant autant de fois que nécessaire

- le bébé est lavé et habillé et présenté dans un berceau

- de belles photos de l’enfant sont réalisées

- une cérémonie religieuse ou non peut être organisée au sein de l’hôpital

2h00 –

27/11/00

0h30 –

28/11/00

VIDEO 2

VHS ou DVD

ARTE

VIVRE SON DEUIL - Analyses du deuil (3 parties)

1. Un professeur d’université allemande analyse les différentes phases du deuil : le choc, la prise de conscience de la perte, la réorganisation après acceptation de la perte.

Documentaire intitulé « le partage des larmes » : d’où viennent les larmes, qui pleure et dans quelles circonstances ? etc…

2. Désir de vengeance et besoin de faire son deuil.

Un professeur d’université allemande distingue le deuil chaud qui est un état qui doit être passager : on pleure, on s’inflige des blessures…du deuil froid dans lequel tout est intériorisé : on ne laisse rien paraître.

Le désir de vengeance en rapport avec la perte d’un être cher inévitable : qui peut-on rendre coupable de notre peine ? On peut s’en prendre à Dieu, aux institutions…L’enfant qui perd un parent peut lui en vouloir et son désir de vengeance est dirigé contre la personne dont il désire pourtant le plus la présence (ambivalence). Mais rien ni personne ne peut remédier à la disparition d’un être cher. Finalement, il faut se résoudre à sa perte.

Documentaire intitulé « le deuil de la patrie » : les Juifs allemands ont perdu leur patrie pendant la Seconde guerre mondiale…

3. Un psychologue clinicien allemand explique que le deuil est lié à la solitude : l’individu doit surmonter pratiquement seul son deuil dans notre société, et à l’amour porté à la personne décédée : le deuil est un indicateur d’intensité de l’amour dans le sens où plus l’amour porté au défunt a été grand, plus fort sera le deuil ressenti.

3h00 –

Année 2000

VIDEO 3

VHS ou DVD

FRANCE 2

L’équipe du magazine « Immersion totale » a filmé durant plusieurs mois l’activité de la maternité de la Pitié Salpêtrière (PARIS)

Plusieurs couples et accouchements sont présentés, notamment celui d’une mère qui accouche de son second enfant après la mort in-utero de son premier bébé à 8,5 mois et celui d’une mère qui accouche de son bébé qui vient de décéder à 38 semaines de grossesse.

"On découvre ainsi le bonheur, l'angoisse ou la détresse des mères qui accouchent mais aussi les défis quotidiens du personnel médical. A ces histoires si intenses se mêle un quotidien toujours étonnant, quelque fois dramatique mais souvent heureux - TéléObs"

1h30 –

Année 2004

Rediffusion le jeudi 24/08/06 à 23h05

VIDEO 4

VHS ou DVD

FRANCE 5

France 5

1. LES MATERNELLES : l’interruption médicale de grossesse, quel accompagnement pour les parents ?

2 médecins (1 gynécologue et 1 pédopsychiatre) et 3 mamans apportent leur témoignage. En France, environ 5000 IMG (Interruption Médicale de Grossesse) et 200 000 IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) sont pratiqués chaque année dans le cadre légal. L’IVG et l’IMG sont régis par la loi du 17 janvier 1975 dite « Loi Veil ». La moitié des IMG a lieu avant 22 semaines d’aménorrhée. L’ IVG doit intervenir dans un délai de 12 semaine de grossesse (14 semaines d’aménorrhée) alors qu’aucun délai n’est fixé pour l’IMG. Il n’existe aucune liste d’anomalies pouvant autoriser l’IMG. On peut pratiquer une IMG dans 2 cas :

- la santé physique ou mentale de la mère est gravement mise en péril

- l’enfant a une forte probabilité d’être atteint d’une affection d’une particulière gravitée.

A Paris, 48% des IMG concernent des anomalies chromosomiques (dont ¼ de trisomie 21). La décision finale de pratiquer ou non une IMG ne peut être prise que par les parents (après autorisation médicale). Au-delà de 20 semaines de grossesse, l’enfant est considéré comme né sans vie et peut être inscrit sur le livret de famille; des obsèques peuvent également être organisées.

2. LES MATERNELLES : perdre un bébé à la naissance, un deuil incompris.

Sur le plateau télé, une psychanalyste et 2 mamans touchées par le deuil périnatal. Reportage réalisé chez Béatrice G. qui a perdu sa 3^ème fille et a écrit un livre durant son congé maternité.

Le deuil périnatal est difficile à partager avec l’entourage et souvent mal ou pas reconnu. Pour les parents, l’attachement au bébé commence de plus en plus tôt et sa perte est un drame.

0h40 – Mars 2003

0h45 –

Mars 2002

AUDIO

Cassette

Europe 1

France Inter

1. L’émission d’Europe1 est basée sur des témoignages de mères et de pères. Sont évoqués : l’annonce du décès aux parents, la reconnaissance de l’enfant, les pratiques du personnel soignant, l’interruption thérapeutique de grossesse.

2. Témoignages de mères ayant écrit un livre après la perte de leur enfant, d’un père, d’une sœur née avant sa petite sœur (IMG) etc…

Pour un médecin du Centre national d’éthique, on peut expliquer la difficulté à faire évoluer le statut du fœtus par la peur d’une remise en cause de la loi Veil sur l’avortement alors qu’il s’agit uniquement d’accorder au fœtus le respect qui lui est dû.

0h45

1h15

AUDIO

Cassette

France Inter

Titre : "EMISSION ENFANCE : Le foetus est-il une personne ?"(avec Matthias Deguelle et Edwige Antier)

Il est maintenant indiqué sur le livret de famille , il a le droit à un enterrement...
Mais si sa mère est renversée par une voiture, le futur bébé n'est pas considéré comme une victime.
Entre chagrin des parents , le respect du désir d'enfant et les avancées du diagnostic ante natal, le débat est ouvert.

http://www.radiofrance.fr/chaines/france-inter01/emissions/enfance/

0h45 -

12 avril 2005

AUDIO

Cassette

Communauté du Chemin Neuf (communauté catholique à vocation oecuménique)

Titre : "La Foi face à nos questions : Le mal et la souffrance" (par le père François Varillon)

François Varillon, jésuite, est connu pour ses conférences. Son souci a toujours été de permettre à ses contemporains d'accéder à l'Evangile dans toute sa vigueur et dans toute son authenticité. L'intelligence de la foi qu'il nous propose ne se limite pas à un discours de raison mais est une nourriture pour la vie spirituelle.

1h10

Pour ces autres titres, contacter la chaine télévisée ou la radio elle-même.

Résumé : Perdre son bébé : En France, on estime que le décès périnatal, qui survient en fin de grossesse, à la naissance ou dans les jours qui suivent, concerne encore 6,4 enfants pour 1 000. Malgré les grands progrès réalisés en matière de sécurité lors de l'accouchement, certains accidents, souvent inexpliqués, continuent de coûter la vie à des bébés.

La mort subite du nourrisson : Chaque année, 350 enfants décèdent de mort subite du nourrisson. Même si ce chiffre a considérablement baissé ces dix dernières années, grâce à la prévention - et en particulier au conseil de coucher les bébés sur le dos -, ce syndrome reste la première cause de mortalité entre un mois et un an.

L'accompagnement des parents en deuil : Pour les parents, la souffrance de perdre un bébé attendu pendant des mois est extrême et difficile à partager. Comment les parents vivent-ils cette épreuve ? Pourquoi est-ce si important pour eux que soit reconnu l'existence de l'enfant disparu ? Comment en parler à ses frères et sœurs ? Comment améliorer encore la prévention ? A-t-on identifié toutes les causes de la mort subite du nourrisson ? Quelle aide est apportée aux familles qui sont frappées par ce drame imprévisible ?.

Résumé : Reportage sur le deuil périnatal comprenant un résumé écrit sur le site internet de la Radio Canada ainsi qu'une émission radio enregistrée d'une durée d'environ 1/2 heure.

Résumé : Après avoir fait l’expérience de l’accueil de la vie, comment accepter la mort ? Parents et frères et sœurs, ils témoignent courageusement et apportent un souffle d’espérance face à l’épreuve.

Date : 31 août 2004 de 20h45 à 23h00 / 1er septembre 2004 dans la journée

Résumé : Magazine présenté par Carole rouseau - Pour la majorité des femmes, devenir mère est l'une des plus belles expériences de leur vie. Pour d'autres, la maternité est synonyme d'angoisse et de stress. A 34 ans, Isabelle souffre d'une depression post-partum. Elle est incapable de se séparer de son fils et l'allaite encore à 2 ans et demi. Stéphanie et Ludovic ont eu des triplés.Ils doivent tout réorganiser dans leur appartement de 40 m2. Quant à Isabelle et Denis, depuis la méningite de leur fils, seize mois plus tôt, ils sont de nouveau parents. Jenny portait des jumeaux mais l'un deux est mort in utéro, elle a du le garder en elle 6 semaines avant d'accoucher pour donner une chance à son autre enfant de vivre.

Résumé : reportage de Marianne Mas effectué dans la région auprès de deux familles : l'une racontait le deuil de ses jumeaux vécu deux ans auparavant et on assistait aux difficultés pour obtenir la reconnaissance des petits (apparemment obtenue cet été). Une autre famille était en pleine souffrance : encore à la maternité, avant et après l'accouchement, avec les démarches pour faire enterrer le petit, la cérémonie religieuse. On aperçoit le petit mais toujours de loin, dans un très grand respect et surtout on voit le respect du personnel médical (unité de Maryse Dumoulin dans l'hôpital Jeanne de Flandre) pour le corps de ce tout petit.

C'est un documentaire sans aucun commentaire. Il n'y a que la parole des différents parents et celle de Maryse Dumoulin.

Résumé : Cela traite de la mortalité à l’accouchement des femmes et de leur bébés (en France) en augmentation par rapport au reste de l’Europe. Il est suivi d’un magazine (21h45) avec comme invité Philippe Douste-Blazy, de 2 gynécologues et 1 sage-femme.

Résumé : Le second documentaire de l'émission, "Mon tout petit", montre Katja, une maman, sage-femme de profession, qui a décidé de refuser l'interruption médicale de grossesse et d'accompagner son tout petit jusqu'à sa naissance et à son décès peu de temps après.

Il est précédé d'un documentaire qui s'attache à expliquer l'importance de la vie utérine sur notre état psychique.

Résumé : L'émission parlera d'une maman , Sophie, qui accouche de son quatrième enfant, après avoir perdu son troisième enfant en cours de grossesse.

Date : dimanche 03 septembre 2006 à 23h00 / rediffusion samedi 09 septembre 2006 à 04h40

Résumé :Une équipe de tournage a passé quelques jours aux côtés des médecins de l'hôpital de la Citadelle, à Liège. A la maternité, ils vivent chaque jour des moments émouvants, mais parfois aussi très douloureux. Les médecins doivent faire face à l'angoisse de patients qui attendent des réponses à toutes leurs interrogations. Les événements tragiques comme les grands moments de bonheur qui font le quotidien du personnel de l'hôpital.

On y voit en particulier le suivi jour après jour d'un couple dont on suspecte une malformation pour le bébé de 24 SA avec poche des eaux percée, et une autre famille dont le bébé est né très prématurément.

Titre : "MIDI PILE : Documentaire sur le deuil périnatal et l'Association l'Enfant Sans Nom - Parents Endeuillés"

Résumé : Ce jour là, le magasine évoquera le deuil périnatal et présentera l'Association.

Résumé : La grande discussion : J'avais un jumeau (avec participation d'une membre de l'association ESNPE.

Voir forum)

Ils étaient deux dans le ventre de leur mère mais à la naissance, ou quelques semaines plus tard, le destin en a décidé autrement. L'un des jumeaux est mort. Comment le "survivant", élevé parfois dans le tabou de l'absence de son frère ou de sa sœur, parvient-il à se construire, privé de sa "moitié" ? Quels manques cette disparition engendre-t-elle dans sa vie ? Et comment trouver la juste place pour ce bébé disparu ?

rediffusion le mercredi à 11h30

www.rcf.fr et en écoute sur internet du 25 septembre au 1er octobre

Résumé : Nicole FOULON, animatrice de l'association TENDRE L'OREILLE à Aix en Provence, parlera de l'accompagnement du deuil périnatal

Titre : "C'EST MIEUX ENSEMBLE : Documentaire sur le deuil périnatal et l'Association l'Enfant Sans Nom - Parents Endeuillés"

Date : Mardi 14 novembre 2006 à 08h40 (rediffusion de l'émission midi pile passée sur fr3 Bourgogne le 24/09/06)

Résumé : Ce jour là, le magasine évoquera le deuil périnatal et présentera l'Association.

Résumé : - Votre enfant est décédé d’un accident (voiture, accident domestique…)
- Votre enfant est décédé d’une maladie foudroyante (méningite, rupture d’ anévrisme…)
- Votre bébé est décédé de la mort subite du nourrisson
- Vous n’arrivez pas à faire face au décès de votre enfant
- Vous avez perdu un enfant et tenté de reprendre une vie normale
- Suite au décès de votre enfant, vous avez décidé de faire un autre enfant.
- Vous êtes né(e) après que vos parents aient perdu un enfant.

L'association "Vivre son deuil Nord Pas de Calais, commission deuil périnatal - nos tout petits" propose différents reportages TV ou audio compilés dans des cassettes réservées à un usage privé pour aider les familles adhérentes. Elles sont disponibles dans la vidéothèque de l'association.