Décès de notre petit ange à trois heures de vie.

 

 

Tout d'abord, merci à tous, de votre soutien auprès des mamans, et merci a ceux qui m'ont permis de me dire, que je ne suis pas seule à souffrir de la mort de mon bébé.

Je vais essayer de vous raconter mon histoire, et mon bref moment de bonheur, avec mon bébé à la naissance.

 

 

Le 16 aout 2005, j'ai rompu la poche des eaux à 17h35 chez moi. Nous avons attendu, l'arrivée de ma belle-mère, pour garder ma fille de trois ans et demi , pour pouvoir, prendre le chemin de la maternité. J'avais quelques contractions, mais je n'étais pas en travail.

 

Arrivée aux urgences à 18h30,  et prise en charge qu'à 20 h environ, on m'a installée, sur une table, à moitié cassée. j'ai failli tomber 2

deux fois, car le bas de la table (plus ou moins d'accouchement pour les urgences) ne tenait pas. Mon mari m'a récupérée deux fois dans ses bras.

A 20h, la sage-femme est venue, pour me faire mon bilan, me mettre un cathéter , et me faire un prélèvement vaginal. J'avais peu de contraction.

On m'a fait une échographie de control, à ma demande, étant donné, que mon bébé était déjà estimé comme grand et "dodu". Le doppler et la quantité de liquide étaient normaux selon l'interne ce soir là. (estimé à 4176 g).

On m'a conduit, dans ma chambre, avec une dame, accouchée de la veille avec son bébé. Je n'avais plus de contraction, et le liquide ne coulait pratiquement plus.

La sage-femme est passée rapidement à 21h30, en me disant qu'elle repasserait plus tard lors de son tour. Elle est repassée, après que mon mari soit parti (puisque je n'étais pas en travail), vers 23h30, et m'a demandé si j'avais diné. je lui est répondu que "non", je n'avais mangé qu'une banane à 18h, sachant qu'il ne faut pas trop manger avant d'aller en salle de naissance, et surtout, si besoin éventuel de césarienne. Elle m'a ramené un encas. Un monitoring a été fait.

J'ai peu dormi de la nuit, car le bébé de ma voisine réclamait le sein de sa mère, régulièrement, comme tous les bébés allaités, les premiers jours de naissance. Cette maman, a été gentille, d'aller se promener dans les couloirs entre 2 h et 3h du matin, sachant que son bébé, n'arrivait pas a s'endormir, et que j'avais du mal a me reposer avant l'accouchement, qui se fera le 17 aout.

 

 

A 5h la sage-femme m'a mis du Cytotec, pour déclencher l'accouchement, et accélérer les contractions. Le col n'avait pas bougé. Ecoute du rythme cardiaque de mon bébé fait pendant 20 minutes.

A 9h on me remet l’appareil  : anomalie de rythme (décélération) que j'ai entendu avec ma voisine de chambre. Le coeur a ralenti , puis est remonté (passé de120 à 60 pulsations/minute).J'allai sonner, quand la sage-femme est arrivée. Pour elle, c'était du à un changement de position. (je n'avais pas bougé ). elle m'a laissé l’appareil, pendant un moment et me l'a enlevé.( a t'elle averti un chef?).

Après une douche, pour me rafraichir, mon mari est arrivé, et nous sommes parti nous promener, conseillés par la sage-femme, pour accélérer le travail. A 11H45, nous sommes revenus car j'étais fatiguée et j'avais quelques contractions. Le liquide ne coulait plus...La sage-femme, m'a dit que l'on allait m'emmener en salle de naissance.

A 12h pose de perfusion et péridurale, et pose d'un autre comprimé de cytotec en intra-vaginal. J'ai été examiné, plusieurs fois, par les sages- femmes et les étudiantes sages-femmes, qui repassaient systématiquement derrière elles. On m'a fait plusieurs toilettes à la bétadine.....J'ai quelques contractions, après le comprimé, mais je trouvais que celle-ci ne venaient pas comme à mon premier accouchement (elles avaient été instantanées après ma rupture ).

Ce n'est qu'en fin d'après-midi, qu'ils se sont aperçus, après m'avoir pris mes échographies, qu'il restait une deuxième poche, et qu'elle n'était pas rompue. La  sage-femme, a percé cette poche et les contractions  sont devenues rapprochées et douloureuses... LA J'ETAIS EN TRAVAIL REELLEMENT. Mais après, je me suis demandée si j'avais bien fait de venir dans cet hôpital. Je me suis dit que je devais leur faire confiance et donc je ne me suis pas manifestée à poser des questions qui les auraient surement embarrassées.

 

Entre 19h30 et 20h30, je n'ai vu personne.(surement la relève était là).

A 20h30, arrivée de la sage-femme de nuit, qui sans me réausculter, m'a annoncé qu'elle allait pratiquer l'accouchement (donc savait que j'étais à dilatation complète à 19h30 ???)

Elle m'a enlevé le monitoring, sans raison apparente, alors que moi, je voulais le garder (comme normalement dans les accouchements), pour suivre le rythme cardiaque de mon bébé, et entendre si souffrance ou non pendant l'expulsion. Elle m'a répondu que ça me gênerait pour la naissance. On m'a enlevé les capteurs, et je n'entendais plus les bruits du petit coeur de mon bébé. Anxieuse, que mon bébé puisse souffrir, j'ai poussé de toutes mes forces, afin de le faire naitre, le plus rapidement possible.

La sage-femme m'a même dit qu'elle voudrait bien faire des accouchements aussi rapide tous les jours!!!!(En effet 11 minutes c'est rapide, mais le travail en lui même et la descente de mon bébé, dans le bassin avait été, pour moi, à mon avis trop long, pour mon petit ange.

 

Mon petit ange, est né cyanosé à la naissance, (quand elles me l'ont mis sur moi, il n'était pas rosé, comme ma fille, il avait du mal à prendre sa respiration, il pleurait, il gémissait....C'est là que j'ai vu que son état nécessitait, des soins d'urgences, mais la sage-femme, comme d'habitude, ne montrait pas son anxiété..Elle était avec son étudiante, et une autre personne, qui me semblait être aide-soignante, entrain de pronostiquer, en riant, le poids de mon bébé. Puis la personne, en blanc (aide-soignante), a fait la pesée et les mesures, mais a fait, aussi l'examen final, que la sage-femme devait faire. Pendant ce temps la sage-femme, finissait, l'accouchement, et me faisait mon point « d'érraillure ». Cette femme en blanc, qui n'était pas une sage-femme a dit, à celle-ci "il faudra refaire le test de la seringue, plus tard!!!"

Quand, elle l'a aspiré, la sonde n'allait pas, et en la retirant, elle a touchée un flacon du chariot. Elle s'est aperçut que j'avais remarqué ce geste donc a demandé à l'étudiante d'aller en rechercher une autre.

Pendant ce temps, mon bébé était dyspnéique, et  elles continuaient tranquillement les soins. J'ai plusieurs fois, dit que je le trouvais pas bien. J'avait vu qu'il avait déjà un tirage intercostal, signe d'une grande détresse respiratoire.

Puis, après plusieurs demandes de ma part, et voyant qu'il ne s'améliorait pas, au niveau respiratoire, elles ont décidé, de lui mettre, de l'oxygène, avec seulement des lunettes, qu'elles passaient de temps en temps à l'orifice de ses narines,. Au bout d'un moment, elles ont vu que çà ne suffisait pas. Mon bébé geignait, et moi je me trouvais désemparée, car je ne pouvais pas bouger, j'étais en plus épuisée, par le travail long de l'accouchement. Je vivais un cauchemar, alors que çà aurait dut être l'un de mes plus beau jour de ma vie...

Comme, il ne revenait toujours pas, à la couleur rosée, la sage-femme décida, d'augmenter, l'oxygène, il était un peu mieux, mais geignait encore. Voyant, qu'il était un peu plus rosé, la sage-femme a rediminué l'oxygène (Pourquoi ????) Elle a mis un coussin d'eau sur sa tête, car il avait une bosse sérosanguine. Elle m'a dit que c'était sa bosse qui le faisait souffrir.

(Je savais que ce n'était pas pour cette raison..)  Le tirage était de plus en plus important, pincement des ailes du nez. Après l'avoir mis dans une couveuse, elles ont mis le saturomètre (il était à 50 %, après avoir été à 80%), qui selon les résultats ne pouvait pas marcher. La sage-femme m'a dit qu'on allait descendre, un saturomètre de la réanimation pour vérifier (je ne saurai jamais réellement le résultat, puisqu'ils me l'ont emmené après, hors de la salle de naissance). La sage-femme est parti chercher une "cloche" à oxygène, pour mettre dans la couveuse. Voyant, qu'il n'était pas mieux, elle m'a ENFIN dit "nous allons appeler le pédiatre. Mais, les minutes passaient et je ne voyais pas le pédiatre arrivé. La sage-femme a décidé de prendre mon petit ange, dans une salle à coté, pour finir ses soins.

Epuisée, je me suis endormie ,un peu, à bout de force, en espérant que mon bébé aille mieux, et qu'il serait à coté de moi dans très peu de temps...J'ai fait confiance à la sage-femme et au pédiatre qui j'espérai arriverai dans le plus bref délai. Mon mari, a somnolé aussi. Puis, je me suis réveillée, en sursaut, et j'ai demandé à mon mari, ou était, notre bébé ??? Ce n’était pas normal, rien, pas de nouvelles....Qu'est-ce qu'ils faisaient de mon bébé???

Mon mari s’est levé pour aller voir, et la sage-femme et une autre personne que je n'avais jamais vu (pédiatre???), sont venus en salle de naissance avec mon bébé, en incubateur.

Mon bébé ne gémissait plus, il ne pleurait plus, je pense qu'il avait une sonde dans le nez (je l'ai vu de loin). Elles m'ont dit qu'elles le montaient en réa néonatalogie, pour surveillance, et qu'il redescendrait dans la matinée. Leur faisant confiance, je les ai laissées prendre mon enfant sans savoir que je ne le reverrai jamais vivant.

Ne pensant pas que mon bébé était entrain de mourir, j'ai demandé, si je pourrai l'allaiter plus tard, pour éviter de retarder la montée de lait et permettre un bon contact avec lui dès ses premières heures. Elle m'a répondu que son control de glycémie était  bon, et qu'il avait déjà eut du mal à prendre ce qu'on lui avait donné. Il n'était pas perfusé quand je l'ai vu partir, donc on lui a donné son traitement par voie orale, alors qu'il avait du mal à respirer???

Les soins gynécologiques ont été fait par l'étudiante sage-femme. Je n'ai plus jamais revu la sage-femme !!!

Après, je suis montée dans une chambre vers 2h30, 3h. Mon mari est parti se reposer et voir notre fille.

 

Avant de m'endormir, j'ai eu un mauvais pressentiment, je me suis levée, et je suis passée dans le couloir. Les auxiliaires étaient dans une pièce, avec les bébés des mamans qui devaient se reposer. Elles m'ont toutes regardée, d'un regard bizarre. Je n'avais pas compris, qu'elles devaient savoir que mon bébé ne résisterai pas à son épuisement. Je voulais aller faire un bisou, à mon bébé, avant de m'endormir. J'ai averti, les auxiliaires, que je montais voir mon bébé. Elles m'ont indiqué l'escalier où je devais passer pour rejoindre, la réa néonatalogie. (En y repensant, j'aurai pu faire un malaise dans l'escalier ou dans les couloirs, il n'y avait personne...j'avais eut un accouchement long, j'étais épuisée, mais une force exemplaire, me poussait à aller voir mon bébé). Personne jusque là m'avait avertie que mon bébé n'allait pas bien.

J'ai sonné... Quelqu'un m'a ouvert. Une infirmière je crois. Je me suis présentée et j'ai demandé à voir mon enfant. Elle m'a dit de m'asseoir, et là mon cauchemar a commencé...L'infirmière m'a dit que l'on était entrain de s'occupé de lui et que la pédiatre viendrai me voir...J'ai attendu, en espérant de bonnes nouvelles.

Mais hélas, la pédiatre m'a annoncé "votre bébé ne passera pas la nuit". J'ai cru que je dormais, que je rêvais, que j'allais me réveiller, et que tout irait bien pour mon bébé.

Mes jambes ne me supportaient plus...Je pleurais toutes les larmes de mon corps, j'allai perdre mon bébé, que j'avais tant désiré, idéalisé, pensé,. Je voulais mourir aussi, avec lui. Je ne pouvais pas croire ce qu'elle m'avait dit, j'espérais qu'il aurait la force de "revenir". On m'a dit de prévenir mon mari. Je suis donc redescendue, seule, par le couloir et les escaliers en pleurant, pour aller chercher mon portable. Je suis revenue dans le service, et j'ai dit à la sage-femme, que j'allais prévenir mon mari, car mon bébé n'était pas bien. Le savait-elle réellement avant ???

J'ai prévenu, mon mari qui est venu après que je sois remontée, pour être avec mon bébé. Il m'a rejoint en service de  réa néonatalogie..

J'ai pris mon bébé dans les bras et je lui est parlé, parlé, pour qu'il revienne à lui, qu'il ne m'abandonne pas, que son coeur "remonte", mais il était branché de partout, et ne réagissait plus. Il respirait avec une pompe, qui faisait monter et descendre sa poitrine, mais lui ne respirait plus tout seul.

Pendant, que je parlai à mon bébé, mon mari était arrivé, et discutait avec le pédiatre. Le pédiatre, m'a dit qu'ils avaient eut du mal à l'intuber, car il avait une fente palatine.(l'autopsie n'a vu aucune fente palatine, mon bébé était en parfait état général, aucune cause retrouvée.) La pédiatre, a dit à mon mari quand il est entré dans le hall de la réanimation que notre bébé était déjà mort. Il avait fait un arrêt cardiaque, et que son coeur battait très lentement.

Moi j'espérais encore...Puis mon mari l'a pris dans les bras, et a pleuré aussi. Son premier petit garçon allait partir à tout jamais comme son père, qu'il avait perdu, jeune.

Je disais à mon mari qu'il fallait qu'on ai de l'espoir... Il m'a regardé dans les yeux et m'a annoncé que notre petit bébé était déjà mort...Je me suis effondrée, je ne voulais pas qu'il parte, je le niai, par système de défense ,j'étais épuisée, je n'avais plus de force. Les infirmières m'ont dit d'aller me reposer, qu'elles m'appelleraient, quand il y aurait du nouveau. (Elles voulaient surement dire quand le coeur, ne battera plus du tout.)

Je suis retournée dans une chambre avec mon mari, on a somnolé, pleuré notre bébé ,et vers 6 h la sage-femme nous averti qu'il fallait remonter voir notre bébé, car il n'était pas bien.

Je lui ai demandé, s'il était décédé, elle m'a dit "oui". J'ai fondu, en larmes, mon compagnon, me soutenait comme il pouvait, mais on m'a emmenée en chaise car je ne pouvais plus marcher, par la douleur que je ressentais au fond de mon coeur, le déchirement, qu'a une maman, quand on lui annonce, qu'elle ne pourra plus voir son bébé vivant, pas le voir sourire, grandir, vivre .

Nous l'avons vu, inerte, refroidissant déjà, sans signe de vie. Nous l'avons habillé de ses petits vêtements et pris une dernière fois dans nos bras.

 

Il était tellement grand, qu'il dépassait, les matelas, de la réa néonatalogie (3840 grs et 54 cms)

 

Je lui ai dit au revoir et lui ai dit qu'on l'aimait de tout notre coeur...Mon mari, la pris et l'a embrassé en lui disant en revoir.

 

Puis avant de partir de l'hôpital, on a voulu le revoir, mais une infirmière de garde nous a répondu, « qu'ils ne le gardaient pas ici », et que si on voulait le revoir, il fallait aller à la morgue...On l'a laissé et on est redescendu en pleurant.

On est reparti dans la chambre et j'ai demandé à sortir, car je ne supportais pas d'entendre les bébés pleurer dans le couloir.

 

Le chef de service et la cadre, sont venus pour nous expliquer les formalités. Explication, pour eux, suspicion d'infection avec choc septique??? (pas de germe retrouvé ni 

dans mes résultats, ni dans les résultats de mon bébé???) . Voyant les résultats, le chef m'a dit de faire l'autopsie, car il pensait à une malformation (autopsie revenue, pas de cause retrouvée, enfant sain).

J'ai vu une psychologue lors de ma visite avec le chef de service , puis après l'autopsie, je crois que ça m'a beaucoup aidé, sur le moment, mais encore maintenant, je pense qu'il s'agit d'accumulations d'erreurs, et de manque de rapidité, dans la prise en charge (La sage-femme n'a pas agit assez vite, le pédiatre, où était-elle, quand est-elle réellement venue??? mon bébé souffrait-il déjà lors de l'accouchement, et c'est pour cela qu'on m'a débranché le monitoring,  fallait-il faire une césarienne ????).

 

J'ai redemandé à revoir le chef de service, qui, devant mes questions, un peu trop curieuses sur le déroulement des événements, m'a pris un rendez-vous avec le pédiatre....

Mais ce jour, le pédiatre, qui s'était occupé de mon bébé, était absente à cette réunion, seul le pédiatre soit disant chef  (pas de badge) était présent, mais avait lu le dossier juste avant la réunion , et donc ne pouvait pas me répondre correctement... Le chef de service et ce monsieur, ne sachant pas quoi me répondre sont revenus sur l'hypothèse du choc septique, par infection.

J'ai donc demandé à voir la pédiatre, qui s'est occupée de mon bébé. Ils m'ont répondu, que ce n'était pas possible, car, elle avait changé de service....

(coïncidence ??? ou changement pour raison de fautes professionnelles???) .

J'ai demandé mon dossier, on me l'a envoyé longtemps après, avec des erreurs de retranscription et de prise en charge de mon accouchement.

Je n'ai pas pu avoir tout le dossier, il manquait comme par hasard, les preuves que mon bébé avait souffert avant la naissance (LE TRACE DU RYTHME CARDIAQUE DE MON BEBE, DE LA VEILLE ,NON RETROUVE )

et sur celui de l'accouchement, l'enregistrement se poursuivait jusqu'à l'expulsion de mon bébé, alors que je n'avais plus les capteurs.. etc...)

Je pense que mon dossier a été modifié, pour ne pas avoir de problème, mais le coeur d'une maman n'oubli pas toutes ces choses, et pour la mémoire de mon enfant je cherche à savoir la vérité.

Même s'il s'agit de fautes professionnelles, ou de négligence, pour manque de personnel, et de matériel, les mamans ont besoin de savoir pourquoi leur bébé est mort, pour pouvoir se reconstruire.

Ce n'est pas en culpabilisant les mamans, ou en inventant des pathologies qu'elles n'ont pas, que les médecins doivent se défendre. L'erreur est humaine, mais on doit

avouer et non cacher pour pouvoir se faire pardonner.

Je pense que l'équipe a du mal vivre mon séjour, et la mort de mon bébé, mais j'ai besoin de savoir POURQUOI.

 

 

Si vous lecteur, vous avez pu me comprendre, faite moi signe, et dites ce que vous en pensez. Merci de m'avoir lu. Mon récit fut long, et encore, je n'ai pas pu tout vous raconter...

 

 

MILLE MERCIS  POUR VOTRE SOUTIENT ET A BIENTOT JE L'ESPERE.

 

 

 

email: Eglanpine@numericable.fr

 

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