APPEL A TEMOINS

Cette page est réservée aux appels de témoignages par les médias, les étudiants ou autres.

Si vous avez besoin de l'Association pour réaliser vos travaux ou enquêtes, n'hésitez pas à nous contacter.

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Accès direct aux différents appels à témoin :

 Aurélie, étudiante de 3ème année à l'école de sage-femme (appel du 31 mars 2008)

Bonjour à tous et à toutes!

Je suis étudiante en troisième année de sage-femme, et à l'occasion de mon Travail de fin d'études l'année prochaine, je souhaiterais aborder le sujet du deuil périnatal. En effet, je souhaiterais améliorer le quotidien en maternité des mamans qui ont vécu un tel drame. Pour celà, j'ai besoin de témoignages, de parler avec vous pour améliorer ensemble cet accompagnement.
Merci beaucoup à vous et à bientôt.

Aurélie

 Vous pouvez vous adresser directement à l'association : appelsatemoins@aliceadsl.fr qui transmettra. PRECISEZ BIEN QU'IL S'AGIT DU TRAVAIL DE Aurélie

Adélaïde, étudiante en 5ème année de psychologie (appel du 25 octobre 2008)

Bonjour à toutes et à tous,

Je suis étudiante en 5ème année en psychologie et je fais un mémoire sur les femmes ayant vécu une IMG: sur ce qu'elles ont vécu, comment cela s'est déroulé, l'avant et l'après etc.

Dans l'idéal je souhaiterais vous rencontrer (j'habite à Paris et peux me déplacer dans toute l'île de France) mais vos réactions m'intéressent de toute façon.

Si vous êtes disponibles et d'accord pour en parler avec moi, je serais ravie.

Merci d'avance pour votre aide.

Bon courage à chacune et chacun et bonne continuation.

Adélaïde

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Caroline, étudiante en master 2 de droit (appel du 04 mai 2009)

Bonjour,

Etudiante en Master 2 de Droit à l'Université de la Sorbonne à Paris, je réalise actuellement un mémoire sur le statut de l'enfant mort-né, qui me tient très à coeur.
En découvrant au fur et à mesure de mes recherches que l'on conditionnait les modalités de prise en charge des corps de vos enfants avec les règles d'inscription à l'état civil, je ne peux que partager la douleur à laquelle vous avez dû être confrontée en découvrant l'impossibilité d'offrir un traitement décent et digne à votre enfant.

Je me permets de vous écrire pour vous demandez quel sentiment vous aviez eu à la lecture des décrets de 2008, qui ne permettent l'établissement d'un acte d'enfant qu'en présence d'un accouchement spontané ou provoqué pour raison médicale (dont l'IMG).

Si l'interruption volontaire de grossesse a été expressément écartée, c'est sans aucun doute pour mettre un terme aux craintes qui s'étaient exprimées à la suite des arrêts de 2008, puisque certains soulevaient à tort que la reconnaissance d'un état d'enfant sans vie sans aucune restriction menacerait la liberté des les femmes d'avorter.  

En revanche, le pouvoir réglementaire a enfin pris en considération la souffrance des femmes qui ont dû subir douloureusement une IMG. En revanche, on peut se demander ce qu'il se passera lorsque l'IMG sera pratiquée lors des 12 premières semaines ? certains auteurs seraient tenter de répondre que puisque la procédure suivie serait celle de l'IVG, elle ne donnerait pas lieu à accouchement, et donc aucun acte d'état civil ne pourrait être délivré.

Si l'on peut saluer la parution du décret sur le livret de famille qui permet désormais la délivrance d'un tel livret aux parents qui en sont dépourvus après une demande à l'officier d'état civil qui a établi l'acte d'enfant sans vie, le nouveau dispositif me semble condamnable sur plusieurs points.
Dans la mesure où le décret ne fixe pas précisément une durée de grossesse nécessaire, il appartiendra aux médecins de décider s'il coche la case accouchement spontané (qui ouvre le droit à l'acte d'enfant sans vie) ou celle de interruption spontanée précoce de grossesse (fausse couche précoce qui n'ouvre aucun droit).
Une fois de plus, on se retrouvera en présence d'un traitement disparate en fonction de la sensibilité des médecins,  puisque certains soutiennent que l'on est en présence d'une fausse couche précoce avant 12 semaines, d'autres 13, 15....
Par ailleurs, on peut regretter que le pouvoir réglementaire n'ait pas profité de son intervention pour reconnaître un lien de filiation entre l'enfant et ses parents, dans la mesure où ces effets n'entraîneraient aucune conséquence sur le plan juridique, mais seulement sur le plan symbolique. Par ailleurs, la législation française est contraire à la jurisprudence de  la Cour européenne qui a condamné la Russie dans un arrêt le 2 juin 2005, pour ne pas avoir permis d'attribuer à un enfant sans vie un état fidèle à son rapport de filiation sur le fondement du droit au respect de la vie privée et familiale.

Je suis très émue à la lecture de vos témoignages et des livres que j'ai pu lire sur le deuil périnatal, et j'espère sincèrement que la législation évoluera en apportant une réponse plus humaine à vos souffrances,et en vous permettant notamment d'offrir une sépulture à votre enfant quelque soit son degré de développement.

Je vous remercie d'avance de vos réponses
Caroline  S

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Nadia, étudiante en dernière année à l'école de sage-femme (appel du 26 septembre 2009)

Bonjour

Etudiante en dernière année sage femme, je réalise mon mémoire sur "la prise en charge de la sage femme du deuil périnatal dans la culture arabo-musulmane".
Je recherche dès lors des parents de cette culture qui ont vécus un deuil périnatal afin de voir avec eux comment ils ont vécus cette prise en charge.
par exemple: vous êtes vous senti compris face à cette prise en charge? certaines choses vous ont heurter?...
tous témoignage est le bienvenue. Vous pouvez me contacter
Je réalise ce mémoire afin d'améliorer la prise en charge en salle d'accouchement!
Je me rends compte que ce n'est pas un sujet facile à aborder.  

Et vous remercie d'avance.
Nadia

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 Émilie, étudiante en 3ème année d'infirmière (appel du 14 octobre 2009

Bonjour

J'ai eu connaissance de votre site au cours de mes recherches. Votre site m'a donné beaucoup d'informations sur les démarches administratives, les lois et décrets qui protègent ses enfants qu'on ne doit pas oublier...
au cours d'un stage de 1ère année, je me suis occupée d'une femme, qui avait perdu son enfant à l'accouchement, jusqu'à sa sortie (5 jours plus tard):
cet accompagnement a été source de nombreux questionnements et je me suis décider à aller plus loin dans la réflexion en choisissant cette situation de départ pour mon travail de fin d'études.

Il serait intéressant que je puisse entrer en contact avec des familles pour qu'elles puissent me faire part de leur ressenti concernant les soins qu'elles ont reçu au sein de l'hôpital, l'aide des soignants, leurs attitudes adaptées ou non...cela dans le but de comprendre comment améliorer cet accompagnement en sachant qu'elles auraient pu être les bons comportements, ou ceux attendus par les familles endeuillées.

J'aimerai également entrer en contact avec des professionnels de santé pour partager des expériences s'approchant  de la mienne, pour échanger sur notre vécu de la situation...
quelles sont les démarches à effectuer et pensez-vous pouvoir m'aider?
je vous remercie par avance à l'intérêt que vous aurez prêté à ce courrier

à très bientôt,

cordialement,

Emilie

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Florence, Psychothérapeute (appel du 02 décembre 2009)

"Fausse couche", une expression pas très jolie pour un événement qui peut s'avérer traumatisant pour certaines femmes. Evénement qui, bien que très fréquent, reste encore tabou à notre époque...

Dans le cadre de l'écriture d'un ouvrage, je recherche des témoignages de femmes qui ont vécu ce que l'on appelle aussi "l'avortement spontané", quel que soit le stade, la raison, le vécu, ...
Cette enquête est réalisée au moyen d'un petit questionnaire qui vous sera envoyé par e-mail. L'anonymat est bien entendu garanti.

L'objectif de cette enquête est de comprendre comment les femmes vivent cette épreuve, si l'implication de l'entourage, l'empathie du corps médical, l'expression... ont un impact sur le travail de deuil. Elle permet également de répertorier les outils de soutien qui existent déjà et ceux qui devraient exister...

L'objectif de l'ouvrage qui suivra sera, dans un premier temps de sensibiliser les personnes concernées aux besoins des femmes qui vivent ce traumatisme et de leur entourage, il sera aussi support de réflexion à la création d'outils de soutien.

 Vous pouvez vous adresser directement à l'association : appelsatemoins@aliceadsl.fr qui transmettra. PRECISEZ BIEN QU'IL S'AGIT DU TRAVAIL DE Florence.

Charlotte, étudiante en 3ème année à l'école d'infirmière (appel du 26 décembre 2009)

 Bonjour, je suis en 3°année à l'école d'infirmière et j'aurai besoin de votre aide par rapport à mon mémoire sur le deuil périnatal (que je dois rendre très rapidement!!!) afin de mieux comprendre ce que vous avez vécu (dans les limites du possible bien sur). Pour cela j'ai effectué un questionnaire adressé aux personnes (mères mais aussi pères) ayant perdu leur enfant pendant la grossesse ou vite après l'accouchement.
   

     1°)Dans quel contexte avez-vous perdu votre enfant, à quel moment (avant ou après la naissance) et dans quel service (maternité ou autre)?
     2°)Quels sentiments avez-vous ressenti lors de la perte de votre bébé?
     3°)Quelles réactions avez-vous eu à l'hôpital suite à l'annonce du décès de votre enfant? (mutisme, agressivité...)
     4°)Pensez-vous avoir bénéficié d'un accompagnement adapté et suffisant de la part de l'équipe soignante?
     5°)Qu'auriez-vous souhaité que les soignants disent ou fassent? Quel soutien, quelle attitude souhaitiez-vous de leur part? Quels étaient vos besoins?
     6°)Avez-vous eu les informations concernant le devenir de votre enfant après son décès? (que fait-on du corps, déclaration légale...)
     7°)Les soignants ont-ils abordé avec vous la mort de votre enfant? Ont-ils répondu à vos questions?
     8°)Avez-vous bénéficié d'un suivi psychologique au moment et à la suite de la perte de votre bébé? Cela vous a t-il aidé selon vous?

Je vous remercie par avance de m'accorder un peu de temps sur ce moment difficile de votre vie. Merci beaucoup de vous intéresser à ma demande. Cordialement. Charlotte.  

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Mélody, étudiante en dernière année à l'école d'infirmière(appel du 30 janvier 2010)

Étudiante infirmière en dernière année, je réalise mon mémoire sur l'accompagnement psychologique de parents ayant accouché d'un enfant mort-né. Pour permettre d'améliorer la prise en charge infirmière  j'ai besoin de votre témoignage.

Si vous êtes prêt ou prête à me raconter votre histoire merci de me contacter rapidement. Je vous demande de me raconter votre histoire et votre ressenti sur la prise en charge de la part des soignants (quelques questions que je vous communiquerez ultérieurement).

Je vous remercie par avance.

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Alexia, étudiante en 3ème année à l'école d'infirmière(appel du 17 avril 2010)

Actuellement étudiante en 3e année d'étude d'infirmière, je réalise mon Travail de Fin d'Étude sur la prise en soins des femmes qui ont vécu ce que l'on appelle un "avortement spontané".
L'objectif de cette enquête est comprendre comment les femmes vivent cette épreuve, si l'implication de l'entourage, l'empathie du corps médical et l'expression ont un impact sur le travail de deuil. Elle permet également de répertorier les outils de soutien qui existent déjà et ceux qui devraient exister.
Cette enquête est réalisée au moyen d'un questionnaire où l'anonymat est bien entendu garanti.
Ainsi, afin d'améliorer cette prise en soins infirmière, j'ai besoin de connaitre le ressenti concernant les soins qu'elles ont reçu au sein de l'hôpital, l'aide apportée des soignants, leurs attitudes adaptées ou non,...

1. Quel âge avez-vous ?

2. A quel terme avez-vous fait une fausse couche spontanée ?

3. Quels sentiments avez-vous ressenti lors de la perte de votre bébé ?

4. Comment avez-vous été accueilli par le personnel soignant ?

5. Quelle a été la durée de votre hospitalisation ?

6. Pensez-vous avoir bénéficié d'un accompagnement adapté et suffisant de la part de l'équipe soignante ? Pourquoi ?

7. Quels étaient vos besoins ?

8. Qu'auriez-vous souhaité que les soignant disent ou fassent ?

9. Quel soutien, quelle attitude souhaitiez-vous de leur part ?

10. Votre souffrance vous semblait-elle comprise ?

11. Les soignants ont-ils abordé avec vous la mort de votre enfant ?

12. Vos questions et doutes ont-ils été pris en charge par l'équipe soignante ?

13. Avez-vous eu la proposition de consulter un psychologue au moment et à la suite de la perte de votre bébé ?
si oui, que vous a t-il apporté ?
si non, en avez-vous ressenti le besoin ?

14. Avez-vous des propositions pour améliorer cette prise en soins ?

15. Pensez-vous avoir été assez soutenu par votre entourage ?

Merci d'avance de vos réponses et du temps que vous m'avez accordé.

Alexia

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Sophie, étudiante en master 1 de psychologie (appel du 12 mars 2011)

Sophie, étudiante en Master I de psychologie, et afin de réaliser son mémoire de fin d'étude, elle recherche une personne ayant vécu une IMG pour des causes d'handicap

Sa recherche est bien entendu anonyme et se fera sous forme d'entretien. Elle habite la région Toulousaine mais peut se déplacer dans un périmètre raisonnable

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Sandra,étudiante en psychologie(appel du 27 février 2012)

J'ai repris mes études en septembre 2009, peu après les 1 ans de ma petite dernière. Je suis un cursus de psychologie et mon projet est de travailler en lien avec le deuil périnatal: aider les parents, les frères et sœurs, l'entourage en demande, mais aussi les enfants qui arrivent après un deuil périnatal (j'ai moi-même vécu une IMG en mai 2004). Je suis aujourd'hui en 3ème année de licence. Dans le cadre de mon option, représentations familiales et transmission, j'ai un dossier à rendre.

Pour ce dernier, je suis à la recherche d'une Maman ayant perdu un bébé, qui serait enceinte ou viendrait d'accoucher et qui accepterait de me recevoir pour un entretien. Celui ci sera enregistré afin de m'éviter la prise de note exclusive qui empêcherait le dialogue. Il sera totalement anonyme et n'engagera à rien.
Il y a cependant une contrainte, celui-ci s'adresse à des Mamans étant au minimum dans leur 7ème mois de grossesse jusqu'aux jeunes Mamans dont le bébé aurait au maximum 3 mois. Je ne suis pas à l'origine du questionnaire. Celui-ci est officiel et se pratique par les professionnels.

J'habite en Haute-Saône et me déplacerai volontiers dans la limite de ce qui est faisable géographiquement pour moi.

Je reste disponible pour toute question, de quelque nature qu'elle soit.

Je vous remercie chaleureusement par avance, pour l'aide que vous apporterez à mon dossier par votre participation.

Bien à vous,
Sandra

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Grégoire Lamarche Journaliste/réalisateur (appel du 10 mars 2012

Grégoire Lamarche (Journaliste/réalisateur)  réalise actuellement un documentaire sur la grossesse : "Un jour, un enfant", diffusé sur NRJ12. Le documentaire est réalisé sous forme de 4 destins croisés. Parmi ceux-ci, il souhaite rendre compte de la vie d'un couple qui désire avoir un enfant après avoir vécu un deuil périnatal. Il souhaiterait pouvoir aborder la place de l'enfant d'après, le rôle des objets mémoriels, de l'entourage et de la compréhension par autrui d'un deuil d'une personne qui n'a été connu que par un couple au cours de la grossesse.

C'est pourquoi il est à la recherche de personnes (seule ou en couple) acceptant de témoigner.

Grégoire Lamarche

Journaliste/Réalisateur

g.lamarche@909productions.tv

+33 (0)1 53 19 81 90

+33 (0)7 60 81 94 74

Association TIMEO ET LES AUTRES (appel du 10 mars 2012

"L'association TIMEO ET LES AUTRES (information et soutien des victimes du cytotec utilisé en obstétrique) recherche des témoignages sur l'utilisation du misoprostol (cytotec) dans les accouchements déclenchés.
Ce médicament (un anti-ulcéreux détourné de son usage par certains obstétriciens) n'a pas d'Autorisation de Mise sur le Marché pour provoquer les accouchements. Son utilisation comporte des risques d'hyperstimulation utérine pouvant entraîner une souffrance fœtale, et dans de rares cas une rupture utérine, une hémorragie de la délivrance, une embolie amniotique...
Des cas de décès de bébés et de mères ont été rapportés avec ce médicament.
Pour tout témoignage, vous pouvez nous contacter sur les liens suivants:

http://timeo-asso.fr
http://www.bebecyto.org

Ou joindre Anne Loirette au 09 54 69 07 69"

L'association TIMEO ET LES AUTRES recherche des témoignages sur l'utilisation du misoprostol

Céleste, psychologue (appel du 31 mars 2012)

Céleste, psychologue, prépare un mémoire de licence et souhaiterait rencontrer quelques mamans ( environ 4) dans une seconde grossesse, après avoir perdu un bébé. et qui accepteraient de parler de leur vécu.

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Camille et Valérie, accompagnantes non médicale (appel du 30 juin 2012)

Bonjour,

Nous sommes actuellement en formation pour devenir Doula (accompagnante non médicale à la naissance). Nous avons choisi de travailler sur le thème de la Naissance et la Mort pour notre mémoire de fin d'étude. Nous sommes conscientes que ce sujet est difficile et nous voulons au mieux accompagner les parents dans le respect et le non jugement.

Nous recherchons des personnes, des couples qui ont perdu un bébé, pendant la grossesse, pendant ou après la naissance pour nous raconter cet évènement.

Si vous souhaitez partager des sentiments, des ressentiments, des sensations, des besoins, ce qui vous est passé dans votre tête, dans votre cœur, ce que vous avez créé (poésie, idées personnels, adhésion a une association, page internet) nous accueillerons vos émotions avec bienveillance de vive voix, par téléphone mail ou par courrier.

Nous sommes a votre disposition.

Avec votre accord ou de façon anonyme, nous pourrons utiliser vos récits pour notre travail de fin d'étude.

Nous vous remercions énormément.

Camille et Valérie

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Laure, mémoire de fin d'étude de psychologie ( appel du 14 janvier 2013)

Pour l'écriture de mon mémoire de fin d'étude de psychologie sur le thème du deuil périnatal, je souhaiterais avoir des témoignages de parents portant en particulier sur l'accouchement de leur bébé décédé. Travaillant sur Angoulême, j’aimerais pouvoir rencontrer les couples désireux de m’apporter leur témoignage, ou avoir un contact par téléphone ou mail, avec les couples qui ne seraient pas sur la Charente.

 Vous pouvez vous adresser directement à l'association : appelsatemoins@aliceadsl.fr qui transmettra. PRECISEZ BIEN QU'IL S'AGIT DU TRAVAIL DE Laure 

 

 

 

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